des machines littéraires |
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Dans l’ouvrage insolite "Machinerie à l’usage d’auteurs incertains", Marie-Laure Depaulis s’amuse à proposer des mécanismes pour porter secours à des écrivains acculés à leur page blanche. Qu’y a-t-il de plus dur que de trouver la meilleure chute d’une nouvelle littéraire ? Rien de plus simple avec la "machine à conclure" qui vous permettra de découvrir le dernier mot de votre dernière phrase. Vous craignez d’être un auteur au succès éphémère ? Tendez un fil dans votre salon et faites pendre votre histoire pour qu’elle sèche et se conserve longtemps ! Les romans de Raymond Queneau et le mouvement de l’oulipo sont bien sûr les influences majeures de ces écrits fondés sur des contraintes ludiques et des machines rêvées et loufoques. [pour trouver le livre, cliquez sur l'image de couverture] On en parle de-ci de-là : * article sur le journal Valeurs mutualistes, octobre 2015 * chronique sur le blog "la mare aux mots"
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